"Tu es venue pour un instant à mes côtés, et tu m'as fait sentir le grand mystère de la femme qui palpite au coeur même de la création"
...
"Où les routes sont tracées, je perds mon chemin.
Sur la vaste mer, dans le bleu du ciel, il n'y a point de lignes marquées.
Le sentier est caché par les ailes des oiseaux, le feu des étoiles, par les fleurs des saisons différentes.
Et je demande à mon coeur: ton sang ne porte-t-il point la connaissance de l'invisible chemin?"
Poemas 56 (extracto) e 6, "La corbeille de fruits", in "L'Offrande lyrique suivi de La Corbeille de fruits", Poésie/Gallimard, 1975. Traduções de André Gide (L'Offrande Lyrique) e Hélène du Pasquier (La Corbeille de Fruits)
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Não prometo responder a todos os comentários, mas prometo que fico grato por todos.