Le français commence, petit à petit, à s'échapper par la petite porte : celle du quotidien, que certains croient « la grande porte ». Ils se trompent : le jour-à-jour n’est que le dépotoir des rêves, une cave à ordures, machine à broyer le possible.
Sem comentários:
Enviar um comentário
Não prometo responder a todos os comentários, mas prometo que fico grato por todos.