11.11.10

"Au bagne"

«Généralement, à défaut de contemporains, on croise un chat, un chien, dans une ville. À Cayenne, ces animaux familiers passent sans doute la nuits aux fers, tout comme les hommes. Il n'y a que des crapauds-buffles dans les rues. On les appele crapauds-buffles parce qu'ils meuglent comme des vaches. Ils doivent être de bien honnêtes bêtes puisqu'on les laisse en liberté. » 

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Não prometo responder a todos os comentários, mas prometo que fico grato por todos.