"...le malheur nous rend égocentriques. Commençons donc par où j'aurais dû commencer: comment vas-tu, ton enfant, ton homme? Il nous rend muets, aussi: point n'est plaisant, et encore moins poli, d'en parler. Ne le mentionnons donc pas. Il nous abruti: à force de ne pas vouloir en penser, nous devenons incapables de penser tout court.
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Não prometo responder a todos os comentários, mas prometo que fico grato por todos.