23.4.07

Fragmento

...oui, je sais, inutile de le cacher, de le nier, de l’expliquer : je t’aime, encore et toujours, je t’ai toujours aimée, je t’aimerai jusqu’à la fin des jours.

Mais ne t’inquiète pas: je ne serai pas pesant, tu ne me sentiras pas, pas plus que l’air que je respire chaque jour ne sait qui je suis: il se limite à me faire vivre, et moi-même ne sais qu’il y est que si j'essaye de vivre sans lui.

Je ne peux pas. Comme la mer, d’ailleurs: elle est partout où je suis, car sans elle, sans toi, je ne suis pas.

Je ne suis pas.

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Não prometo responder a todos os comentários, mas prometo que fico grato por todos.