15.6.09

Vague, vague Léonore

Je dis: vague; et vague encore, Léonore, désir et corps. Lorsque tu dors à côté de moi dans mon vide, mon abisme, mon gouffre - éternelle ritournelle qui tourne sans cesse dans l'arc du temps, ton regard - je pense, Léonore, à ce ventre que je caresse et à la chance que j'ai, de pouvoir caresser une peau qui tant adore.

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Não prometo responder a todos os comentários, mas prometo que fico grato por todos.